Les tests de QI (quotient intellectuel) permettent d’évaluer l’intelligence. Ils fournissent également un profil cognitif dans des compétences particulières (4 ou 5 notes d’indices selon l’âge). L’intérêt des tests de QI réside surtout dans l’identification des forces et faiblesses du patient et des écarts entre les différents domaines évalués.
Le bilan intellectuel peut permettre de déceler une éventuelle déficience intellectuelle ou au contraire un fonctionnement à haut potentiel, mais aussi, grâce au profil, de fournir des indices évocateurs d’un trouble des apprentissages (troubles DYS).
Votre enfant a des difficultés à se concentrer en classe, à s’organiser ou à étudier ?
Les séances de méthode de travail peuvent lui donner des clefs pour aborder l’étude plus sereinement. Dans un premier temps, des notions de neuroéducation sont abordées. Ces notions permettent de comprendre comment fonctionnent le cerveau, la mémoire et l’attention et par conséquent de trouver des pistes pour mieux étudier. Nous mettons en pratique plusieurs outils comme les cartes mentales, le sketchnoting, les flash cards,… Nous découvrons et discutons ensemble les points faibles et les points forts de l’enfant ou de l’adolescent, et fixons ensemble un objectif à atteindre. Nous abordons également son ressenti face à l’école et sa motivation. Enfin, nous parlons de l’hygiène de vie et de la gestion du stress, toutes deux nécessaires pour maximiser l’efficacité de l’étude. Les séances sont adaptées à chaque enfant, à sa scolarité, ses objectifs et ses difficultés concrètes.
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Tout élève souffrant d’un trouble des apprentissages (dyslexie, dysorthographie, dysphasie, dyscalculie, dysgraphie, dyspraxie et TDA/H) ou du comportement peut disposer d’aménagements raisonnables dans l’enseignement. Un aménagement raisonnable peut être matériel (utilisation d’un ordinateur, d’une tablette…) ou organisationnel (temps supplémentaire…). Ces aménagements sont déterminés en concertation entre l’élève, les parents, la direction de l’école, l’instituteur ou les professeurs, le CPMS et éventuellement les professionnels entourant l’enfant. Ils sont envisagés en fonction des besoins spécifiques de l’élève afin qu’il puisse être sur un pied d’égalité avec les autres enfants.
Retrouvez plus d’infos sur le site de l’enseignement :
Dans le cas de dyspraxie et/ou de dysgraphie, le fait d’écrire mobilise l’ensemble des ressources attentionnelles et l'enfant ne peut donc pas se concentrer sur l’application des règles de grammaire, de l’orthographe, ni sur ce que l’enseignant dit. Grâce au clavier, on supprime la surcharge cognitive et l’enfant peut donc écrire et écouter, écrire et comprendre.
L’apprentissage du clavier caché prend environ 6 mois à un an pour un enfant dyspraxique. Je propose une méthode d’apprentissage du clavier caché afin que les enfants ne perdent pas de temps à chercher les lettres et puissent être efficaces. Petit à petit, nous apprenons également à utiliser l’ordinateur en fonction des besoins de l’enfant : enregistrer ses documents, utiliser certains logiciels, scanner, imprimer, mettre un document sur clé usb, etc. En complément, un entrainement régulier à la maison est nécessaire.